Le Ksar est un roman graphique qui raconte la vie de Jean-Paul Bassaget, ancien marin et grand voyageur. Album de 200 pages couleurs, couverture cartonnée et jaquette panoramique.
Itinéraire aventureux d’un capitaine au long cours
Le Ksar, c’est le bateau de Jean-Paul Bassaget. Un navire sur lequel il bourlinguera pendant plus de quarante années. Avant le Ksar, il fut capitaine au long cours notamment pour le bateau mythique du Commandant Cousteau : la Calypso.
Animé par une curiosité insatiable et un goût irrépressible des grands espaces, Jean-Paul Bassaget a parcouru l’Afrique, l’Amérique du Sud, traversé les mers, plongé au fond des océans, mené des expéditions en Antarctique et frôlé la mort plusieurs fois, dans des naufrages ou au milieu de guerres civiles.
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Bon pied (marin) et bon oeil !
À 80 ans passés, Jean-Paul tient toujours une forme incroyable et l’énergie d’investir des projets d’ambition, on ne l’arrête pas !
L’histoire d’une vie…
Le livre «Le Ksar» raconte la vie de Jean-Paul Bassaget, un personnage au parcours exceptionnel et un témoin précieux d’évènements de la seconde moitié du XXème siècle. L’album s’appuie sur les nombreux récits qu’il a confié à l’auteure ainsi qu’une précieuse documentation iconographique: photos, coupures de presse, films…
…et d’une amitié
Le livre c’est aussi l’histoire d’une rencontre et d’une amitié qui se construit entre l’auteure et son «héros». Hélène Balcer met en scène leurs conversations qui rythment et animent le récit des voyages et des aventures de Jean-Paul.
Le bateau: le Ksar
Le Ksar (le voilier) a été conçu pour aller en mer de glace. Jean-Paul a vécu plus de quarante années à son bord et navigué en mer Méditerranée, au large des côtes Africaines et Sud-Américaines ainsi qu’en Antarctique.
Photos issues de la collection personnelle de JP Bassaget.
Capitaine de la Calypso
Jean-Paul Bassaget a travaillé une dizaine d’années dans l’équipe du Commandant Cousteau dans les années 1960. Il a pris part à la célèbre campagne océanographique «l’odyssée» et il fut capitaine de la Calypso.
Photos issues de la collection personnelle de JP Bassaget.
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Le Capitaine Bassaget et le Commandant Cousteau
Captures d’écrans, extraits des films de la Collection Cousteau 1967 – 1971
Un voyageur aventureux
Traversée du Sahara en landrover, randonnée dans les montagnes ougandaises, exploration du désert d’Atacama ou encore : expédition en Antarctique. Jean-Paul Bassaget a soif de grands espaces et de nouveaux horizons. L’album retrace certains de ces voyages durant lesquels Jean-Paul a vécu des aventures rocambolesques.
Photos issues de la collection personnelle de JP Bassaget.
Rencontres et expositions :
Pour promouvoir le livre, j’ai participé à de nombreux festivals de BD ou de carnet de voyage comme au FIBD d’Angoulême et le festival SOBD de Paris. Fin 2018, le festival des carnets de voyages de Clermont-Ferrand m’a invitée pour présenter l’album et exposer les planches originales. Puis en 2019, j’ai exposé les dessins du Ksar à la Librairie Voyageurs du Monde ainsi que le Carnet Sardu (prononcez « Sardou »), le carnet de voyage en Sardaigne réalisé avec Nicolas Talbot.
En 2021, Jean-Paul et moi avons présenté le Ksar à la médiathèque d’Arles.
L’aventurière et l’homme du monde
C’est le titre de l’article que j’ai écrit dans le n°37 de « Bouts du monde », la revue qui publie des carnets dessinés et des récits de voyages.
Une aventurière, moi ? Non, pas vraiment, quoique… la réalisation du roman graphique fut une aventure épique et un sacré challenge pour moi qui n’avait jamais réalisé ni publié de BD ! De la rencontre du Capitaine en Sardaigne en passant par les étapes de recherche documentaire, l’écriture, les échanges avec l’éditeur et enfin… six mois intensifs de colorisation des planches : un voyage de trois ans pour un premier album de 200 pages couleur.
L’article raconte les coulisses du livre : la rencontre avec Jean-Paul en Sardaigne, les conversations avec le Capitaine mais aussi la construction d’une amitié et d’une relation de confiance. Jean-Paul m’a confié tous ses récits de vie que j’ai pu adapter avec beaucoup de liberté dans la mise en scène.